L'hépatite G est due à un virus découvert en 1995 et désigné sous le nom de VHG.
Modes de transmission
L'hépatite G se transmet essentiellement par voie sanguine. Les principales personnes touchées sont les patients transfusés et les utilisateurs de drogues injectables (environ 2 % des donneurs de sang aux États-Unis, a priori en bonne santé, sont séropositifs pour le VHG).
Évolution et symptômes
L'hépatite G peut être aiguë ou chronique. Elle est asymptomatique le plus souvent et les malades n'ont généralement pas de symptômes. La majorité des patients immunocompétents semblent éliminer le VHG dans les premières années qui suivent l'infection mais le virus G peut persister longtemps dans le sang, des mois, voire des années. Les taux de transaminases restent soit normaux, soit modérément élevés.
Diagnostic
La sérologie (Elisa) n’est pas fiable. La PCR, qui quantifie la présence dans le sang de l'ARN du virus, est le seul examen en mesure de détecter une hépatite G.
Le virus de l’hépatite G n’apparait pas aujourd’hui comme un problème majeur.